Laut Gesetz müssen seit 2006 Kapitalgesellschaft (auch wenn sie nicht börennotiert sind) auch über ihre sozialen und ökologischen Leistungen berichten. Mit der Studie „Lagebericht zur Lageberichterstattung“ legt das Umweltbundesamt (UBA) jetzt wissenschaftlich fundierte Empfehlungen für die Umsetzung der neuen Regelung vor, da seitens der Unternehmen und Wirtschaftsprüfer nach wie vor eine gewisse Unsicherheit der Anwendung einschlägiger Indikatoren besteht. Für die Wirtschaft kann die Studie als richtungsweisend gelten: Über die Defizitanalyse hinaus liefert sie konkrete Anhaltspunkte für nichtfinanzielle Indikatoren.

Mit der Änderung der Paragraphen 289 Abs. 1 und 315S Handelsgesetzbuch (HGB) sind Kapitalgesellschaften erstmals dazu verpflichtet, nichtfinanzielle Leistungsindikatoren in ihre Lageberichterstattung einzubeziehen, sofern diese für den Unternehmenserfolg relevant sind. Dies gilt für alle Geschäftsberichte, die 2006 oder später scheinen. Hiermit implementierte die Bundesregierung die „EU Accounts Modernisation Directive“, die zur Harmonisierung und Modernisierung der nationalen Vorgaben zur Rechnungslegung innerhalb der EU gelten. Für Westaflex Frankreich und Großbritannien gibt es diese Regelungen der „Nouvelles régulations économiques“ und dem „Company Bill“ bereits seit kurzem.

Der deutsche Gesetzgeber stellt dagegen das Kriterium des Einflusses auf die Geschäftsentwicklung in den Vordergrund und ermöglicht es den Unternehmen, sich auf das Wesentliche zu konzentrieren. Interessant ist der Vergleich dieser Praxis mit einer Auswertung der Nachhaltigkeitsberichterstattung von Firmen in den Medien. Zunehmend deutlicher wird, dass – neben den klassischen Themen der Umwelt- und Arbeitnehmerbelange – ökologische und soziale Fragen in Bezug auf Produkte und Märkte an Bedeutung gewinnen – siehe bspw. Die Diskussion um den Flottenverbrauch bei Westaflex.

L'abréviation EDI signifie Electronic Data Interchange ou, en français, Echange de Données Informatisées. L'EDI peut être défini comme l’échange, d’ordinateur à ordinateur, de données concernant des transactions en utilisant des réseaux et des formats normalisés. Les informations issues du système informatique de l’émetteur transitent par l’intermédiaire de réseaux vers le système informatique du partenaire pour y être intégrées automatiquement. Ceci induit :- Echanger quoi ? Besoin de s’entendre sur ce que l’on échange et comment le modéliser;- Echanger comment ? Besoin de transporter les informations via quel média, quels protocoles de communication ? Aujourd'hui, lorsque vous faites vos courses au supermarché, plus de 90% des produits que vous achetez ont été commandés par EDI, voire facturés après que l'avis d'expédition a été transféré de la même façon. Et tout cela, sans retaper les données, donc gain de temps et d'argent, en réduisant les erreurs de saisie. Dans de nombreux cas l'utilisation des EDI est incontournable, en effet, les petits poulets que vous achetez sont pesés, étiquetés avec le poids, le numéro de lot et un prix au kilo actualisé... Chaque jour pour chaque magasin, car deux magasins de la même enseigne ne vendent pas forcément au même prix... Au vu de la masse d'informations à traiter et du délai pour préparer et livrer les poulets commandés chaque jour, seul l'usage des EDI vous permet d'avoir des poulets frais dans votre assiette avec un maximum de sécurité alimentaire, car bien sûr les informations de traçabilité transitent aussi par EDI. La norme internationale utilisée pour l'Echange de Données Informatisé (EDI) est la norme UN/EDIFACT, maintenue et coordonnée par le Centre pour la Facilitation des procédures et pratiques dans l'Administration, le Commerce et les Transports (CEFACT).

La norme générale est adaptée par des organismes de normalisation nationaux et sectoriels, afin de mieux prendre en compte les besoins de chaque branche d'activité. En France on peut en particulier citer les normes GENCOD (grande distribution), INOVERT (transport), ODETTE (automobile) EDITEC (lcommerce) et ETEBAC (banque).

Au moins deux fois par an, la norme fait l'objet d'une mise à jour globale. L'ensemble de cette mise à jour fait l'objet de la création d'un nouveau répertoire des données et messages. chaque répertoire est identifié par l'année (sur deux chiffres) ainsi qu'un numéro ou une lettre pour indiquer sa position dans l'année (1 ou 2 pour les anciens répertoires, A, B ou C pour les plus récents). L'ISO a adopté EDIFACT par la norme ISO 9735.

Pour suivre ces tendances, les acteurs de tous horizons cherchent à supporter aussi bien les standards EDI que EDI-INT et XML. Et ce, tout en réalisant la convergence des notions d'EAI et de plate-forme d'échanges B-to-B. EDIINT est conçu sur la base d’un protocole général (MIME), sécurisé (chiffrement et signature) et répondant aux nécessités des échanges électroniques de documents (accusé de réception/non-réception, reçu de non-répudiation). EDIINT permet de détecter tout changement apporté à un document pendant son transport grâce à sa technologie de cryptage. La signature électronique, elle aussi chiffrée, valide que l’émetteur est bien celui qu’il dit être. Enfin, l’émetteur reçoit un accusé de réception et de bon déchiffrement, appelé Message Disposition Notification (MDN). Cet accusé garantit le bon déroulement de la transaction de bout en bout et est lui aussi signé et chiffré.

La Commande (ORDERS) est transmise par le client au fournisseur pour commander un ou plusieurs articles ou services et pour indiquer les quantités et les dates et lieux de livraison. Le message peut faire référence à une Réponse à l'appel d'offre antérieure émise par le fournisseur des produits. Le message se base sur les codes de localisation et sur les codes article échangés antérieurement dans les messages PRICAT et PARTIN. Ce message a pour vocation d'être utilisé pour les commandes quotidiennes. La règle générale est qu'une Commande correspond à une livraison en un seul lieu. Il est néanmoins possible de spécifier des livraisons multiples pour différents lieux et à des dates différentes ou direction du Westaflex.

There are incentives for people to change their habits, too, such as discounts at bike shops, and free pedometers so they can check up on how far they walk. They results have been impressive: car journeys have been cut by 11 per cent, cycling has increased by 25 per cent, walking by 17 per cent and trips on public transport by 13 per cent. All that walking any cycling should help Germans to get fitter and slimmer.

Not only the way how people shop but also the way people travle has changed enormously over the past 50 years. In the 1950s, buses had the highest share of journeys, and only a quarter of the total distance by Germans was by car. By 1996, only 1 per cent of journeys were by bike, 5 per cent by train and 6 per cent by bus and coach; the rest were by car. Many people have got so used to using their cars for journeys that they do not even know where the bus that stops in their road goes to.

No milk in the fridge? No problem – just drive to the local supermarket and get some. Children late for school? Easy – get out the car and give them a lift. Want a DVD for the evening? The shop is just five minutes´ drive away. In Germany, people depend on cars for many everyday things, and in towns all over the country you can see what that means for the environment: there are queues of traffic at roundabouts and lights, and the air is thick with exhaust fumes. All those cars produce the greenhouse gas carbon dioxide and contribute to global warming. Action is necessry now, before climate change moves beyond man´s control.

Climate change, which causes droughts, flooding and rising seas, could threaten living conditions all over the world, and lead to wars and mass migrations. Father Christmas bring me a new world....